jeudi 27 janvier 2011

Al Qahira se prépare à un grand changement politique…


  Des heurts entre manifestants et forces de l'ordre ont éclaté mercredi 26 janvier en Egypte où la police a procédé à quelque 500 arrestations, au deuxième jour d'une mobilisation sans précédent contre le président Hosni Moubarak au pouvoir depuis trois décennies.

   Les Egyptiens se réjouissent de répéter le scénario de la révolution de jasmin en Tunisie. Durant l'après midi du lundi un grand nombre des forces de police égyptiennes ont occupé une bonne partie des grandes villes comme Al Qahira (le Caire en arabe), Alexandrie et un certain nombre de provinces.
Alexandrie… plusieurs domaines ont y été identifiés pour le lancement des manifestations, y compris les stations principales ainsi les gares routières et la place de Mansheya au centre ville .Les marches auront passé de toutes les régions de la Corniche d'Alexandrie et d'aller dans les rues principales.
En Ismailia, au nord du Caire, des marches vont commencer à «Street Thalathini" et dans la rue "chemin de fer" à côté du grand boulvard de Hamzawy, et comme le peuple de Fayoum, avaient met en scène une grande manifestation, à partir du champ d'épitopes de Bandar Fayoum, l'après midi.

   "Cela fait plusieurs années que la société civile égyptienne est organisée sur Internet, notamment sur Facebook avec des contestataires comme le 'Mouvement du 6 avril'", explique Lucie Morillon, responsable du bureau Internet chez Reporters Sans Frontières (RSF). "La révolution tunisienne a donné un nouveau souffle aux cyberdissidents égyptiens."
En réponse à cette contestation en ligne, le gouvernement égyptien a choisi de bloquer l'accès à Facebook, à Twitter et à d'autres sites. "Nous confirmons que Twitter a été bloqué en Egypte [...] Nous croyons que le libre échange des informations et des points de vue peut mieux aider les gouvernements à communiquer avec leur peuple", plaide le site de micro-blogging.

1 commentaire:

  1. Salam mon frère,

    Félicitations pour ton blog! Il est chouette.

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